Au début de sa tournée de remerciements pour ses électeurs, le prochain président des Etats-Unis Donald Trump a annoncé jeudi qu’il entendait confier la tête du Pentagone au général à la retraite James Mattis, un militaire au franc-parler surnommé “l’enragé”.
“L’enragé, il est excellent”, a-t-il annoncé en surprenant les milliers de supporteurs venus le voir à Cincinnati, dans l’Ohio, l’un de ces Etats remportés par le républicain le 8 novembre dernier.
L’enragé (“mad dog”) est le surnom de James Mattis, 66 ans, qui serait le premier ex-général à devenir secrétaire à la Défense depuis 1950. Donald Trump l’avait récemment encensé, se disant notamment “impressionné” positivement par sa position anti-torture.
Au début de sa tournée de remerciements pour ses électeurs, le prochain président des Etats-Unis Donald Trump a annoncé jeudi qu’il entendait confier la tête du Pentagone au général à la retraite James Mattis, un militaire au franc-parler surnommé “l’enragé”.
James Mattis était l’un des +finalistes+ pour ce poste crucial de la prochaine administration, alors que Donald Trump a promis d’intensifier la guerre contre les jihadistes du groupe Etat islamique en Syrie et en Irak, deux théâtres d’opérations que le général connaît bien.
“L’enragé, il est excellent”, a-t-il annoncé en surprenant les milliers de supporteurs venus le voir à Cincinnati, dans l’Ohio, l’un de ces Etats remportés par le républicain le 8 novembre dernier.
L’enragé (“mad dog”) est le surnom de James Mattis, 66 ans, qui serait le premier ex-général à devenir secrétaire à la Défense depuis 1950. Donald Trump l’avait récemment encensé, se disant notamment “impressionné” positivement par sa position anti-torture.
La future administration Trump comptera donc au moins deux anciens généraux, avec Michael Flynn, nommé conseiller à la sécurité nationale. Une situation inédite, qui risque de faire lever quelques sourcils dans un pays qui, depuis ses origines, a toujours exigé un strict contrôle des militaires par le pouvoir civil.